Le festival du cinéma de Toronto Elle est déjà devenue l'une des plus importantes au monde, dépassant même celle de Montréal. Le spectacle a commencé l'année dernière et le cinéma de qualité prend peu à peu le dessus. A titre d'exemple on peut citer "Il n'y a pas de pays pour les vieillards", film avec Javier Bardem qui hier est devenu l'un des plus acclamés.
Le film, réalisé par les frères Coen, montre un Bardem dans le rôle d'Anton Chigurh, un meurtrier sadique qui a terrorisé le Texas dans les années 70. La presse a fait l'éloge : le journal 'The Globe and Mail' a affirmé que l'Espagnol effectue «une performance primée aux Oscars d'un équilibre impressionnant ; C'est une performance qui creuse dans le coeur du diable«.
Et le Cinéma espagnol Il a également dit présent : hier "Le Roi de la Montagne", de Gonzalo López-Gallego, a été exposé. Pendant ce temps, "Encarnación", le deuxième long métrage du réalisateur argentin Anahí Berneri, a également été vu avec Silvia Pérez, Carlos Portaluppi et Luciano Cáceres, qui participeront à Saint-Sébastien dans quelques jours.