« Lubna » : l'œuvre inclassable de Mónica Naranjo

'Lubna', le septième album de Mönica Naranjo, est maintenant disponible

'Lubna', le septième album de Mönica Naranjo, est maintenant disponible

« Lubna », l'œuvre considérée comme « inclassable » de Mónica Naranjo, nous propose en mode opéra rock la bande originale d'un livre qui sera mis en vente en septembre prochain.

Je l'admets : j'étais de ceux qui doutaient du résultat final de 'Lubna'. De plus, c'était une autre question qui a été discutée sur le blog. Le premier contact avec 'Jamás', le premier aperçu que nous avons eu de cette nouvelle œuvre de Mónica Naranjo, m'a intrigué au maximum. Une petite partie d'une histoire totale qui, pour couronner le tout, est venue avec une telle charge de drame que cela m'a complètement sorti du jeu. Les avant-premières suivantes, « Fin » et « Lost », n’ont pas non plus réussi à montrer une certaine cohésion, seulement du drame et plus de drame.

Mais 'Lubna' est tombé entre nos mains vendredi dernier et il n'a fallu qu'une écoute complète, sereinement, en accordant l'attention qu'une œuvre comme celle-ci a besoin pour la comprendre. Soudain, tout a pris sens : chaque chanson, chaque pièce du puzzle s'intègre parfaitement. Puis, à ma grande surprise, sont venus ces virages dans la production que j'exige toujours tant, allant des paroles les plus délicates au rock sauvage, en passant par le flamenco et même le tango le plus désespéré, réalisant avec un mélange si formidable que vous vous immergez dans l'histoire et souffrez comme si c'était la vôtre. Il m'est impossible de compter toutes les fois où je suis tombé sur des cheveux hérissés.

Entièrement produit par Mónica Narano elle-même, Pepe Herrero et Chris Gordon, 'Lubna' est la bande originale du livre éponyme qui sortira en septembre prochain. Le livre, écrit par un ami de Mónica, est une œuvre conçue pour l'emmener au théâtre, quelque chose dont cet opéra rock a besoin comme de l'eau. Mention spéciale et obligatoire aux collaborations de Marina Heredia dans 'Boomerang', l'une des chansons les plus sombres de l'album, et Jaime Heredia «Le Parron» dans 'L'ombra'.


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