Emerging City 2010 : Chronique du jour 3

Déjà une fois à l'intérieur du Centre Culturel Recoleta, et bien qu'il soit encore tôt (un peu avant 5 heures de l'après-midi), le jardin et les couloirs de la place sont vus avec une circulation permanente. Le public, qui grandira à la tombée de la nuit, est notoirement jeune, avec un fort accent underground indé.

A l'extérieur des salles, sur la terrasse du centre, une scène spécialement aménagée pour le festival attend l'arrivée de Amel, dont le spectacle est prévu pour le 17. Ponctuel, et avec le soleil couchant à l'horizon, ils montent sur scène. Présentation avec un mégaphone, et le premier sujet commence. Avec la formation traditionnelle, la proposition de Amel est basé sur un pop rock avec des chansons à mi-temps, des paroles de rencontres et de désaccords (de toutes sortes, pas seulement des histoires d'amour), et un son assez serré. Juste dans le deuxième ou le troisième thème, avec Radio Toulouse, ils incitent le public à s'éclairer.

Après 20 minutes de 17, Amel continue de jouer, mais il est sur le point de commencer Marchands de Satan, le groupe pour lequel nous sommes venus. Rentré à l'intérieur, et dans une ambiance beaucoup plus rocailleuse (en fond ça sonne My Héros de Foo Fighters), une cinquantaine de personnes attendent la dose garage du festival. Sans qu'on le lui demande, le Satan apparaît, met les instruments et se met en route. Adrian Outeda & Cía Ils ont l'habitude de ne pas trop parler, juste de toucher et de toucher. Ainsi, dans un court spectacle (un peu plus d'une demi-heure), ils jouent 7 ou 8 chansons, mais cela sert à laisser une bonne impression aux personnes qui ne les connaissent pas. La liste des sujets inclus Se paraliza en mi, Ma rock star préférée, Black Hunter, White Hunted, Luces, Ils essaient de tirer mais ils ratent et quelques autres qui font partie de sa dernière production, En Vivo, enregistré lors de la performance de fin 2009 au Club Roxy Live Bar.

Avec une carrière de 10 ans, Marchands de Satan Il a confirmé tout au long de ce temps qu'il est l'un des groupes les plus intéressants d'Argentine, en ce qui concerne la roche brute qu'il a su installer les faire-valoir dans les années 70.

Avec les mélodies de Satan Dealers toujours dans l'air, et le public se dispersant à nouveau, nous retournons à la terrasse, où il joue maintenant Si bionique. Il faut marcher un peu pour avoir une meilleure vue, car la fréquentation a considérablement augmenté. La première chose qui ressort est l'énorme public féminin qui, c'est clair, est venu spécialement pour voir le quatuor. Rappelant le Quatuor de Nos (plusieurs paroles sont pleines de rimes, bien que sans atteindre l'extrême de la bande uruguayenne), et Baver (cette rébellion inoffensive), Tan Biónica se nourrit d'histoires de chagrin, de nuits de plaisir et de coups de foudre à première vue.

En bas de la scène, les gens chantent joyeusement ; et en première ligne, tout près des musiciens, une poignée de filles n'arrêtent pas de sauter. Le son de Tan Biónica est entraînant, dansant et joyeux. Le chanteur encourage cette énergie et la multiplie, avec charisme et aisance. Ceux qui ont été témoins du spectacle conviennent très probablement que, qu'ils le veuillent ou non, Donc Bionic ils ont tous les chemins ouverts pour grandir.


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